En dehors d’une prise en charge symptomatique de l’endométriose, la médecine actuelle est bien démunie. Antalgiques, pilules contraceptives sont les seules armes dont elle dispose pour cette pathologie qui évoluera certes peut être en silence mais aura des répercussions à long terme.
Pourtant, face à une telle pathologie multifactorielle (hyper-oestrogénie, détoxification inefficace, inflammation de bas grade….) des solutions existent mais implique une prise en charge holistique.
D’abord, et avant tout, grâce à une nutrition IN-DI-VI-DU-ALISEE, il est possible de limiter, voire supprimer différents facteurs favorisant l’endométriose. En parallèle, un soutien micro nutritionnel ciblé, est une véritable béquille à la prise en charge de l’inflammation de bas grade mais aussi des déséquilibres hormonaux. De plus, certaines plantes peuvent venir en soutien de ce travail en profondeur sur les origines de la maladie.
Mais ce n’est pas tout ! Il ne faut pas négliger l’impact du stress dans l’évolution de l’endométriose. A ce niveau encore, la nutrition peut impacter le psychisme et les émotions, et la micro nutrition individualisée et certaines plantes sont un soutien non négligeable. Mais aussi bien sur, méditation, yoga, sophrologie sont autant de techniques qui ne doivent pas être oubliées.
Il est vraiment navrant de voir que tant de femmes soient en souffrance alors qu’il existe des solutions !